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La politique en bref

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Exécutif – Le conseil des ministres et le conseil de gouvernement ce jour

Sauf changement de dernière minute, selon une source confirmée, le conseil de gouvernement et le conseil des ministres se dérouleront successivement ce jour à Mahazoarivo et à Iavoloha. Un fait rare pour ne pas être signalé : les deux réunions hebdomadaires des membres de l’Exécutif vont se tenir le même jour. Il se pourrait que l’agenda chargé du Chef de l’Etat, Hery Rajaonarimampianina, dans les jours à venir explique cette initiative. Il est en effet prévu que le locataire d’Iavoloha se rendra à Milan et à Gaborone prochainement.

Fianarantsoa – Le Mapar apporte de nouvelles preuves

Suite aux incidents servenus à Fianarantsoa pendant les élections, la candidate du Mapar, Christine Razanamahasoa affirme avoir en sa possession des nouvelles preuves quant à l’existence de bulletins pré-cochés. Elle indique que des partisans du HVM peuvent témoigner des fraudes électorales pendant le scrutin. Il faut noter que celle-ci a déjà déposé des requêtes auprès du tribunal administratif de Fianarantsoa aux fins d’annulation des voix dans certains bureaux de vote.


Lutte contre la drogue : 1,3 tonne de cannabis saisie à Ihosy

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rongony ihosy

Et de deux. Pour la seconde fois en moins de quatre mois, les éléments de la brigade régionale de la police nationale (BRPN) d’Ihosy ont mis la main sur une grosse quantité de cannabis.

Soixante-cinq sacs de cannabis pesant approximativement 1,3 tonne viennent d’être saisis par les policiers au barrage de contrôle d’Ihosy.

Déféré au parquet d’Ihosy, vendredi dernier, un homme d’une trentaine d’années qui serait le propriétaire de la marchandise a été placé en détention préventive au centre carcéral d’Ihosy.

D’après le commissaire de police François Pelimana, chef de la BRPN de cette localité, les policiers qui étaient en poste au dispositif de barrage ont fouillé le camion, sur la base d’un renseignement.

«Afin de tromper la vigilance des policiers, le prétendu propriétaire a dissimulé les sacs de drogue sous des sacs de son de riz et des peaux de zébu. Mais disposant d’une information fiable sur ses manigances, nous avons minutieusement inspecté le camion. Ce qui nous a permis de découvrir les 65 sacs. Le soi-disant propriétaire a indiqué que le conducteur du camion n’a rien à voir avec la cargaison», a expliqué le fonctionnaire de police.

L’on sait que les 65 sacs de cannabis provenaient de Betroka et que le propriétaire comptait les écouler dans la capitale, sauf que le pot aux roses a été vite découvert.

Selon la police, cette nouvelle saisie de cannabis est la troisième grosse saisie jamais réalisée depuis 2014 par les éléments de la BRPN d’Ihosy. Le 24 mai dernier, ils ont découvert 177 sacs, pesant 3,5 tonnes, dans une maison se trouvant à 20 km d’Ihosy. Quelques mois plus tôt, le 16 juillet 2014, les policiers ont intercepté un camion de l’armée, transportant 155 sacs de chanvre indien.

Mparany

Meurtre au «Taratra Village»  : deux suspects arrêtés

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Vingt-trois jours après le meurtre suivi du vol dans le complexe hôtelier «Taratra Village» sur la RN 5, deux des sept présumés auteurs du crime viennent d’être arrêtés par les forces de l’ordre. Matha, 19 ans, ainsi que Delin, son frère cadet âgé de 17 ans, ont été appréhendés respectivement à Antetezambaro et Ambodiriana.

Ce village touristique a été pris pour cible par une bande armée le 15 juillet dernier, aux alentours de minuit. Le gardien de l’hôtel a été tué durant l’attaque. Ayant réussi à se sauver, le cuisinier a donné l’alerte. Des éléments de la police se sont dépêchés sur les lieux. Une traque a été engagée. Les deux frères se sont enfuis dans la forêt mais les policiers les ont débusqués. Après avoir joué au chat et à la souris avec la police, ils ont finalement été mis hors d’état de nuire. A l’issue du défèrement au parquet, ils ont été placés sous mandat de dépôt.

Mparany

Universités : la grève estudiantine se généralise

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GREVES

La série de grèves dans les universités publiques n’est pas près de prendre fin. Après les étudiants d’Ankatso et de Barikadimy, ceux de l’Ecole normale supérieure (ENS) sont entrés en grève depuis hier pour interpeller les autorités compétentes quant à l’arrêt des activités pédagogiques dans toutes les universités. Pour cette même cause, les étudiants de l’université de Toliara sont également entrés dans la danse.

Le calme est revenu à l’université de Toamasina mais d’autres foyers de tensions couvent à l’ENS d’Ampefiloha et à l’université de Maninday-Toliara. En fait, les étudiants de Barikadimy ont accepté de suspendre leur mouvement de grève, initié vendredi dernier, jusqu’à ce que les résultats officiels des élections communales soient proclamés. Pour leur part, les étudiants de l’ENS Ampefiloha ne comptent pas faire machine arrière.

Après l’ultimatum de 48 heures, lancé la semaine dernière, les normaliens ont organisé une manifestation à Ampefiloha. Les grévistes sont sortis de l’enceinte de leur établissement pour brûler des pneus devant le portail d’entrée de l’ENS jusqu’à ce que les éléments de l’Emmoreg arrivent sur les lieux pour les disperser. Aucun affrontement entre les deux parties n’a eu lieu et aucun dégât matériel n’est à déplorer lors de cette manifestation puisque les étudiants ont accepté de rentrer dans l’enceinte de leur établissement. Quoi qu’il en soit, ces derniers ont déclaré qu’ils n’arrêteront leur manifestation tant qu’ils n’obtiendront pas gain de cause face à leurs revendications, notamment la reprise des cours.

D’après le porte-parole des étudiants de l’ENS, il s’agit d’une grève d’avertissement face à la menace d’une année blanche qui plane à l’horizon. A en croire la déclaration des grévistes, ce mouvement pourrait se radicaliser si aucune solution n’est trouvée à ce problème dans les plus brefs délais.

Même son de cloche du côté des étudiants de l’université de Maninday-Toliara. Ces derniers, qui observent une grève illimitée depuis hier, comptent renforcer leur mouvement si la reprise des cours n’est pas effective dans les prochains jours. Ils menacent de sortir du campus de Maninday dans les prochains jours, si leurs revendications ne sont pas prises en considération.

Le Seces demande l’impossible

Encore une fois, la rencontre entre les représentants des enseignants syndiqués et la ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Marie Monique Rasoazananera, organisée hier à Fiadanana, n’a permis de trouver aucun consensus. La rencontre a été un fiasco puisque les membres du Seces exigent que le ministère des Finances et du budget (MFB) annonce le paiement des indemnités du mois de juillet pour ce mois-ci. Si cette condition est remplie, la reprise des cours sera immédiate, ont-ils laissé entendre.

Une revendication irréalisable, d’après les techniciens du MFB, qui ont fait savoir que même avec une procédure « hors mecano », le paiement ne pourra se faire qu’au mois de septembre. Ainsi, pour le moment, la reprise des cours reste donc incertaine dans les universités publiques.

Fahranarison

Rapt d’enfant  : un apprenti kidnappeur arrêté

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ankadivoribe

Un individu qui avait enlevé un enfant de 12 ans à Beravina Ankadivoribe ainsi que son épouse viennent d’être arrêtés par les éléments du poste avancé d’Ankadivoribe. Le jeune otage a été libéré dimanche dernier. L’apprenti kidnappeur et sa complice d’épouse n’ont pu récupérer la rançon qu’ils avaient réclamée.

Le 3 août dernier, l’enfant a été enlevé par un homme, alors qu’il jouait dans la cour. Le lendemain, les proches du garçon ont reçu un message court (SMS) de la part du ravisseur, leur intimant l’ordre de verser 5 millions d’ariary en échange de la libération de l’otage.

Le preneur d’otage ne s’est manifesté que deux jours plus tard (jeudi). Dans un autre SMS, il a demandé aux proches de l’enfant de remettre la rançon dans une maison en ruine à Ambodiriana Ankadivoribe. Préalablement alertés par la famille de l’otage, des gendarmes en civil ont tendu un piège au suspect mais ils ont fait chou blanc sur place car le kidnappeur ne s’est pas présenté.

Les gendarmes et les proches de l’enfant n’ont pas pour autant baissé les bras. Forts d’un renseignement, ils ont réussi à appréhendé le suspect qui n’est autre qu’un voisin de la victime. Soumis au feu roulant de questions, le kidnappeur en herbe et son épouse sont passés aux aveux. Ils ont indiqué une maison sise à Alatsinainy Bakaro où l’enfant a été séquestré.

Libéré, le jeune otage a expliqué que son ravisseur l’avait emmené à Ankatso, dans un premier temps, avant de le transférer à Alatsinainy Bakaro. Les deux kidnappeurs ont failli s’attirer les foudres des habitants d’Ankadivoribe. Sans l’intervention des gendarmes, ils auraient été lynchés. Pour des raisons de sécurité, ils ont été transférés à la brigade de gendarmerie d’Andoharanofotsy.

Mparany

Exode urbain  : la Sofia comme terre d’accueil

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Les actions liées à la lutte contre la pauvreté et à l’exode urbain, initiées par la plateforme d’associations pour la promotion des droits de l’homme, Hafari Malagasy, se suivent mais ne se ressemblent pas. Alors que l’implantation du nouveau village suit progressivement son cours à Soaniadanana, dans le district d’Ankazobe, la plateforme projette d’en créer d’autres dans la région Sofia. Concrètement, il s’agit d’une extension du projet d’exode urbain dans les sites de Betrobaka à Mampikony, d’Ambalakida à Antsohihy et d’Aranta à Mahajanga. Le projet, s’étalant sur une superficie totale de 280 hectares, vise à développer des activités agricoles, par la mise en place d’une usine de transformation des produits locaux qui font la réputation de la région Sofia, a expliqué le vice-président de la plateforme, Eric Andriamorasata, samedi dernier à Mahamasina.

Comme il a été fixé dans les objectifs de la plateforme Hafari Malagasy, le projet d’aménagement et d’exploitation agricole constitue une solution durable pour lutter contre la surpopulation urbaine et le chômage, ainsi que pour éradiquer la pauvreté. Dans le cadre de ce projet d’exode urbain, il s’agit d’offrir une opportunité aux victimes d’expropriation, aux familles sans-abri et aux personnes  exclues de la société d’acquérir leur propre terrain. Outre les logements sociaux, des infrastructures sociales de base seront mises à leur disposition comme l’eau et l’électricité, les écoles, les centres de santé et le marché. Tout cela, avec l’appui technique des généreux donateurs et partenaires de la plateforme.

Noro Niaina

Baleine à bosse  : une espèce emblématique à protéger

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Baleine

Dans le dessein de sensibiliser la population et les touristes sur l’importance de protéger la baleine à bosse,  l’ONG Bel Avenir à Toliara organise depuis le 2 août une exposition permanente d’un squelette reconstitué du cétacé au Centre d’éducation environnementale Mangily Forêt de Bel Avenir. Il s’agit en effet d’un assemblage unique dans l’océan Indien et probablement l’unique ossement existant au monde, d’après certains spécialistes nationaux et internationaux.

«Les baleines surtout celles à bosse sont une espèce emblématique et les seules qui fréquentent de très près les zones côtières», fait remarquer Anjara Saloma, chercheuse à l’université de Paris Sud et à l’université d’Antananarivo. Ce spécialiste scientifique de l’association malgache de préservation des populations de mammifères marins et de leur habitat ou Cetamada de poursuivre que les baleines ont été depuis longtemps décimées par la chasse et, dans les années 90, la majorité des espèces étaient en voie de disparition dont la baleine à bosse. Il ne restait plus que 10% de leur effectif initial. Actuellement, la population mondiale de baleines à bosse augmente entre 5 et 10% et l’espèce est maintenant classée « préoccupation mineure » par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

D’où l’idée de cette exposition qui vise à véhiculer le message «Protéger et respecter les ressources de la terre et de la mer» à l’endroit des jeunes. «L’exposition donne des explications sur le mode de vie, les comportements, les raisons de la migration et la morphologie des baleines à bosse. Elle permet également de visualiser l’animal en entier, de se rendre compte de sa taille et d’aborder différents aspects de sa biologie», explique Violaine Dulau, chercheuse à l’université de La Réunion et membre du Groupe local d’observation et d’identification des cétacés (Globice).

Notons que la baleine reconstituée est une baleine à bosse (Megaptera novaeangliae) d’environ sept ans, qui s’est échouée en 2011 sur les côtes d’Anakao, au sud de Toliara. L’ONG Bel Avenir a récupéré le squelette en 2013. Ensuite, les os ont été minutieusement numérotés, patiemment nettoyés et stockés. Après neuf mois de travail, plus de 300 os ont été assemblés pour donner un squelette mesurant 15m de long et pesant près d’une tonne.

Noro Niaina

Insecticide- paludisme  : les zones à risque traitées

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La précampagne de lutte contre le paludisme est sur la bonne voie. Entamée depuis la semaine dernière, la pulvérisation d’insecticides dans les zones à risque va se poursuivre jusqu’au début de la prochaine saison des pluies, période durant laquelle cette maladie fait des ravages dans le pays. C’est ce qu’on a appris hier d’un responsable auprès de la Direction nationale de lutte contre le paludisme (DNLP) au niveau du ministère de la Santé. Depuis le lancement de cette action, les villes de Toamasina, Farafangana et Brickaville ont déjà reçu des pesticides pour prévenir les risques de développement des moustiques, principaux vecteurs de cette maladie.

Cette mesure de prévention a été prise par le ministère de tutelle, avec l’appui de ses partenaires, dans le but d’atteindre son objectif, à savoir l’élimination progressive de cette maladie conformément à la Politique nationale de lutte contre le paludisme. Cela consiste à réduire à moins de 5% la morbidité liée au paludisme au niveau de la moitié des districts et à moins de 10% au niveau des autres districts d’ici fin 2017.

En se référant aux statistiques actuelles, il faut reconnaître que de grands efforts devraient être déployés pour atteindre ces objectifs. Toujours est-il que le paludisme figure encore parmi les maladies les plus meurtrières à Madagascar en tuant chaque année des centaines de personnes. Entre les mois de janvier et mai 2014, 119 décès ont été enregistrés sur environ 20.000 cas suspects. Dans la région Analamanga,  les responsables de santé ont totalisé, de novembre 2014 à février 2015, quelque 333 cas de paludisme simple dont 14 graves et 5 décès. L’an dernier, 464 décès dus au paludisme ont été recensés à Madagascar dont 191 décès d’enfants de moins de 5 ans. 10 régions sur 22 sont classées à risque face à cette maladie.

Fahranarison


Mafami  : des projets sociaux au programme

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Après quelques années d’inaction, l’association des étudiants, cadres et opérateurs socioéconomiques originaires de l’ex-province d’Antananarivo ou «Mafami» revient en force avec de nombreux projets sociaux. C’est ce qu’on a appris le week-end dernier dans la capitale lors de la cérémonie de présentation officielle des nouveaux membres du bureau permanent de l’association, dirigés par Hasimpirenana Rasolomampionona.

«Le soutien en faveur des jeunes membres, qui poursuivent leurs études supérieures au niveau des universités publiques et privées sera particulièrement renforcé», a fait savoir le président national de la Mafami. Les appuis en question concernent, entre autres, l’encadrement pédagogique des étudiants, la facilitation de leur insertion professionnelle, ainsi que l’accompagnement dans la démarche d’obtention de logements universitaires pour ceux qui en ont besoin…

Avant de passer à l’action, les membres de bureau de la «Mafami» procèderont à la réunification des anciens membres tout en faisant appel à tous les étudiants issus de l’ex-province d’Antananarivo à intégrer l’association.

Fahranarison

Fanoherana ny voka-pifidianana : efa milamina ny ao Fianarantsoa

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Fianarantsoa

Indray miserana ihany fa tsy niverina intsony. Milamina tanteraka ny ao Fianarantsoa, taorian’ilay hetsika tsy tanteraka ny zoma lasa teo tao amin’ny Magro.

Mizotra toy ny andavanandro ny fiainan’ny mponina. Nahitana mpitandro filaminana niatrana ihany anefa teo amin’ny Magro, ny faran’ny herinandro.

Efa navotsotry ny mpitandro filaminana, ny alahady lasa teo rahateo rehefa nanaovana fanadihadiana, ny faran’ ny herinandro teo ireo telo mbola nohazonina teny amin’ ny zandary Tsaramandroso. Efa navoaka ny harivan’ny zoma kosa, ireo roa hafa, araka ny nambaran’ny mpitandro filaminana any an-toerana ihany.

Araka ny loharanom-baovao any an-toerana, anisan’ny tanana ankavanan’ny mpanao politika iray any Fianarantsoa ny sasany amin’izy ireo nosamborina ireo.

  Miantso fahamailoana ny mpitandro filaminana

Raha tsiahivina, anisan’ny tafiditra amin’ny fanakorontanana sy ny fanaovana hetsika tsy nahazoana alalana ny zoma teo tao amin’ny Magro Fianarantsoa ny nisamborana azy ireo.

Hatry ny sabotsy teo, namanafy ny lehiben’ny CIRGN any an-toerana, ny kolonely Gele Serge fa voafehy ary tsy nisehoana korontana na fidinana an-dalambe hatramin’ny faran’ny herinandro teo. Na izany aza, nanao antso avo ny mpitandro filaminana. “Aoka ho mailo anefa isika. Tsy misy manana tombontsoa amin’ny fifandrangitana izany eto…”, hoy ihany ireo lehiben’ny fitandroana ny filaminana, ny sabotsy teo tao Fianarantsoa.

Eo amin’ny fitandroana ny filaminana sy fandriampahalemana ihany, efa mandeha ny fanadihadiana momba ny asan-jiolahy nandrobana ny Telma ao Tanambao, ny herinandro teo. Tranga iray nanamarika ny tany an-toerana izany.

Synèse R. sy Njato Hervé.

Voka-pifidianana  : distrika dimy sisa tsy tonga eny amin’ny Cenit

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Efa manomboka tonga eny anivon’ny Vaomiera mahaleotena misahana ny fifidianana (Cenit) avokoa, ankehitriny, ireo vokatra avy amin’ireo distrika. Distrika 114 amin’ny 119 no efa vory eny anivon’ny Cenit ka efa feno tanteraka ny an’Antananarivo sy Antsiranana.

Raha ny fantatra, maminavina ny Cenit ny hamoaka amin’ny fomba tsy ofisialy ny voka-pifidianana teto Antananarivo, ny 12 aogositra ho avy izao.

Raha ny fantatra, mbola andrasana ankehitriny ny distrikan’i Mananjary, Tsaratànana, Ampanihy Andrefana, Maroantsetra ary Nosy Varika.

Momba ity fifidianana ity ihany, fantatra fa mitaky ny hamerenana ny fifidianana ihany koa ny kandidà Tim any Toamasina. Vokatry ny tsy fahalavorariana sy ny hosoka maro izay tsikaritra nandritra sy taorian’ny fifidianana no antony.

Nadia

Makamaka fanahy : ny teo ihany no miverina

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Efa eo am-piandrasana ny vokatry ny latsa-bato natao farany teo isika ankehitriny. Tsy mbola ofisialy ny vokatra rentsika amin’izao fotoana fa vonjimaika ihany. Nisy vokany na mety hisy vokany amin’ny latsa-bato natao tokoa ve ny fampielezan-kevitra? Mazava hoazy fa eny ny valiny. Raha tsy izany kosa ve moa tsy ho aim-bery maina fotsiny? Tsy adala ny vazaha raha namorona ny praopagandy. Fa isan’ny voamarika tamin’ ireny fampielezan-kevitra ireny ny fisian’ny fitokanana zava-bita. Tsy tapaka fa saika isan’andro dia nisy hatrany ny fitokanana na teto Antananarivo na tany amin’ny Faritany. Ny filoham-pirenena no tena nitarika tamin’izany. Fampielezan-kevitra mialoha ny fotoana, na fampielezan-kevitra tsotra izao ireny, hoy ny mpanisy sira. Dia nohazavaina fa tsy misy idirany loatra amin’ny fampielezan-kevitra ireny fa zava-bita tsy maintsy tokanana na raisina fotsiny. Nony vita anefa ny fifidianana, nahagaga fa tapitra ihany koa ny fitokanana zava-bita. Ka na misy milaza aza fa tsy mifandray ireo, lasa mifandray ho azy. Samy nanao toy izany avokoa ireo fitondrana nifandimby teto, tsy anavahana. Ny mampalahelo dia samy milaza hanova ny fomba fanaovana politika eto Madagasikara raha lany saingy raha vao tonga eo amin’ny toerana dia ny nataon’ny teo ihany no averiny.

Mparany

«Lalaon’ny nosy»  : niala tsiny ny seraseran’ny prezidansa

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Niaiky ny avy eo anivon’ny seraseran’ny filoham-pirenena fa nisy vaovao tsy voamarina nivoaka avy amin’izy ireo ihany. Teo amin’ny tambajotra «facebook»-ny fiadidiana ny Repoblika no nivoaka ny vaovao fa hampodiana ireo atleta malagasy. Raha ny fanambarana avy amin’ireo tompon’andraikitry ny seraseran’ny filoha anefa, tsy voamarina io vaovao io na efa nisy aza ny fanamarinana izany teo anivon’ireo tompon’andraikitra isan-tokony, saingy efa niparitaka tamin’ny fampahalalam-baovao izany.

Niala tsiny, araka izany, ireo tompon’andraikitry ny serasera eo anivon’ny prezidansa fa avy amin’izy ireo ny fahadisoana ary tsy nisy nisompatra tsy akory ny tambajotran-tsosialin’izy ireo.

Nadia

Ambohimanarina : lehilahy maty may kilan’ny afo

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incendie

Raha mbola mangidy ho an’ny maro ny momba ilay hain-trano mahatsiravina niseho ny alin’ny sabotsy farany teo ka namoizan’ny olona efa-mianaka be izao ny ainy tetsy Antohomadinika III-G Hangar, dia lehilahy iray ihany koa izao no fantatra fa maty may kila tanteraka.

Ny alahady tolakandro teo no nitrangan’izany loza mahatsiravina izany tetsy amin’ny faritr’Ambohimanarina. Araka ny tsilian-tsofina re dia mipetra-drery io lehilahy efa nahazoazo taona io ary trano tsy zarizary no nonenany izay somary misisika anaty tanàna. Hatreto aloha dia tsy mbola nahazoana fanampim-baovao ny mahakasika ny tena antony nahatonga an’ ity fatiolona mampalahelo ity.

Na ry zareo ao amin’ny BMH aza dia mbola vao ny marainan’ny alatsinainy lasa teo vao nandefa taratasy milaza ny andinindinin’ny fahavoazana teny amin’ny tranom-patin’ny hôpitalin’Ampefiloha. Tamin’ny fotoana naharenesana ny vaovao dia mbola tsy tao an-toerana araka izany ny razana. Efa misokatra ny fanadihadiana mikasika ity voina tetsy Ambohimanarina ity.

Tain-tsigara nahatonga loza tao Mampikony

Tsy ny eto an-drenivohitra ihany no isehoana hain-trano rehefa ririnina toy izao fa any amin’ny faritra ihany koa. Matetika aza dia am-polony maro no indray kila hotohoton’ny afo sy lasa lavenona ao anatin’ny fotoana fohy any amin’ny faritra. Toy izany indrindra no niseho ny sabotsy tokony ho tamin’ny 7 ora sy sasany hariva tao atsimokelin’ny tananan’i Mampikony. Vokatr’izany fahamaizan’ny trano am-polony tafo izany dia fianakaviana tsy latsaky ny 20 eo ho eo ankehitriny no lasa traboina tsy fidiny.  Fa ny tena nahasorena tamin’ity raharaha ity, araka ny tatitry ny loharanom-baovao dia fantatra fa ambin-tsigara mbola nirehitra izay natsipin’ny mpandeha avy eny ambony taksiborosy iray nandalo no niteraka izao loza tsy roa aman-tany izao.

Nahazo ny tafo-bozaka tamin’ny trano fonenana iray manamorona ny lalambe izany tain-tsigara izany ka nampijolofotra avy hatrany ny afo. Niitatra tamin’ireo trano fonenana hafa izay nifanetinety teo an-toerana ny lelafo nony avy eo ka vetivety dia lasa toy ny afobe no niafaran’ilay tanàna kely. Mba soa ihany aloha fa tsy nisy ny aina nafoy na ny naratra tamin’ity hain-trano ity.

Tiavina

Nosy Lava  : mpanjono hita faty

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nosy lava

Lehilahy mpanjono iray mbola tanora herotrerony no hita faty ny faran’ny herinandro teo teny amin’ny tora-pasik’i Nosy Lava ao avaratry ny nosy. Araka ny angom-baovao dia efa nanomboka mihasimba ny razana izay mbola nahitana fitafiana toy ny “T-shirt” mainty sy pataloha fohy “jean”. Hita teny amin’ny manodidina ny razana ihany koa ny lakana vita amin’ny fibra mirefy tokony ho 12 metatra eo ho eo ary miloko volom-boasary sy mavomavo ny tapany ambany raha fotsy kosa ny ambony. Raha ny tombatomban’ireo mpanara-baovao any an-toerana dia ankevitry ny mpanjono avy ao Mahajanga ity hita faty tany Nosy Lava ity.

Voalazan’ny loharanom-baovao avy any Mahajanga mantsy fa matetika dobo an-dranomasina ireo mpanjono sasany avy ao amin’ity tanàna farany ity noho ny haratsin’ny toetr’andro ka tsy maintsy atsipin’ny onjan-dranomasina hatrany Nosy Lava.  Efa nentin’ireo tompon’andraikitra nankany Analalava ny razany ankehitriny. Namoaka fanambarana ihany koa izy ireo fa raha tsy mihetsika ny havan’ny maty hatry ny omaly maraina dia tsy maintsy halevina ao Analalava ny razana.

Tiavina


Chronique : 70 ans après Nagazaki la bombe japonaise

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Jour pour jour, en ce 9 août 2015, lors de la cérémonie en souvenir des 70.000 victimes de la 2ième bombe atomique larguée par les Américains au lendemain de celle sur Hiroshima, le Japon lâche à son tour une bombe : début d’un combat contre la détention d’arme nucléaire. Une grenade lancée dans la cour du club des puissances officiellement détentrices d’armes nucléaires. On sait la détermination farouche des membres de ce club à en faire un club  fermé. La Corée du Nord et l’Iran qui ont l’un et l’autre tenté une intrusion par effraction savent quelque chose de cet ombrage. Caresser l’idée de s’élever au niveau de puissance nucléaire suffit à être classé dans la catégorie d’Etat-voyou. Il ne saurait être question de permettre à des voyous d’acquérir l’arme suprême. Le Japon a suffisamment donné gage de patience pour s’autoriser à émettre une voix différente de ce précepte empli de sagesse. L’arme nucléaire dite de dissuasion perd de son autorité face à l’actuelle escalade d’atrocité au compte des extrémistes. Le danger menace le monde, étend ses agissements avec arrogance, aucun pays n’est à l’abri : les grandes puissances par des actions terroristes, les faibles Etats par des invasions rampantes.

 La mer, en théorie frontière naturelle étanche sauf à des opérations de débarquements ou de largages de troupes militaires, ne suffit pas à servir de rempart à une grande île de la taille de Madagascar, surtout quand la politique de l’Etat oriente davantage le destin des forces armées à un outil domestique pour la stabilité du « régime » au pouvoir, qu’à une mission de protection du territoire et des habitants.

Le plus gros de la troupe reste cantonné dans les casernes alors que la terreur que sèment les dahalo depuis des années aurait nécessité des interventions en ordre de bataille comme pour mener une guerre plutôt qu’à entreprendre des opérations d’opérette, limitées en temps, en hommes et en moyens. Faute d’être assurés d’un soutien populaire pour se maintenir au pouvoir sans l’appui des généraux, les gouvernants qui se sont succédé ont toujours appréhendé de se sentir orphelins de béquille et de bouclier si une grande partie des forces armées devait déserter les villes pour battre campagne en brousse ou pour sécuriser le littoral. Par simple bon sens on peine à comprendre la porosité des frontières maritimes faute d’hommes et de matériel, la survivance de hordes organisées parfois en centaines d’hommes armés qui parcourent le territoire semant terreur et désolation alors que l’Etat nourrit brochette de généraux foultitude d’officiers et milliers d’hommes de troupe, certains plongés dans une paperasserie bureaucratique, d’autres vaquant à des corvées de caserne.

Léo Raz

Madagascar il y a 100 ans : le périljaune (1)

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Nous recevons la lettre suivante dont nous recommandons tout spécialement la lecture.

Monsieur le Rédacteur du Tamatave,

Dans un de vos précédents numéros, vous avez publié des observations sur les Chinois et leur « nuisance » au milieu de notre population. Vous n’avez fait qu’entrevoir la vérité, mais de loin, car vous ne la connaissez pas en entier.

Vieux colon qui depuis mon enfance fréquente les Chinois, qui ai vu arriver dans le pays les premiers d’entre eux, et même dans ma jeunesse leur ai servi de teneur de livres et de secrétaire, je me permets de venir vous mieux renseigner.

Le Chinois est une race à part qui jamais ne s’assimilera à la nôtre et n’aura jamais notre mentalité. Depuis la République, il s’habille comme nous et se donne un vernis de notre civilisation. Mais tout cela est tout à fait superficiel et de pure convenance. Grattez ce vernis et suivez le Chinois chez lui ou à son club, et vous retrouverez le Chinois pur, tel qu’il est, tel qu’il a été jusqu’ici et tel qu’il sera toujours, sans se fondre jamais avec une autre race. En quelque partie du monde qu’il aille s’établir, il apporte avec lui ses mœurs, sa mentalité, ses coutumes, ses lois.

Dans un club qui lui servira de temps et de lieu de réunion, – car un Chinois, bien qu’arrivé seul dans un pays, est bientôt suivi de nombreux congénères, – dans ce club, dis-je, il installera un tribunal composé de notables, qui le jugeront, le cas échéant, suivant les lois et coutumes chinoises, sans appel, sans que jamais il puisse éluder l’exécution des sentences prononcées contre lui, et surtout sans que jamais, au grand jamais, la justice du pays dans lequel il se trouve arrive à découvrir les auteurs de la sentence ou même celui ou ceux qui l’ont exécutée, quand c’est la peine de mort qui a été prononcée.

Laissant de côté les condamnations que j’appellerai civiles, le tribunal chinois peut prononcer les peines criminelles suivantes : 1° la « cadouille » ou bastonnade ; 2° l’expulsion ; 3° la peine de mort.

F.

(À suivre.)

Le Tamatave

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Us et coutumes : situation désespérée et solution de désespoir

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Les délestages se multiplient, la population est en émoi. Le phénomène se produit alors que le conflit se durcit à la Jirama. Le silence dans lequel se cloître le pouvoir, laisse libre cours à toutes les supputations qui lui sont défavorables. Là parmi les petits groupes qui se forment de façon spontanée, on privilégie la thèse que la Jirama se trouve dans une situation désespérée que l’on ne peut plus cacher, à quelques mètres plus loin un harangueur soutient l’hypothèse d’un pouvoir qui utiliserait en désespoir de cause le recours aux délestages pour faire pression sur les grévistes. Plus modéré, ici un groupe imagine qu’il peut s’agir d’une opération de sabotage télécommandée de l’extérieur. Un écheveau de quoi  s’emmêler les pinceaux. Franchir le Rubicon et aller à Canossa : un grand écart casse-gueule.

Resaky ny mpitsimpona akotry : donan-tsetroka

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Hivadika biby indray ve ny raharaham-pirenena? Mipetraka ny ahiahy ary rariny izany raha mahita ny fihitatry ny disadisa ateraky ny fifandroritana eo amin’ny voka-pifidianana any Fianarantsoa. Efa tany anatin’ny birao fandatsaham-bato no nanomboka ny romoromo. Araky ny filazana dia nahatsikarika fihetsika tamin’ny fikasana sy fanatanterahana fangalarana mihitsy aza Ingahy Pety sy ny mpiray dia aminy ka niditra nandrara ny fanohizana izany fanao manala ny hasin’ny fifidianana izany. Tsy mety ny tsy hisy mpanohitra anefa izany fikasan’i Pety sy ny tariny izany, mazava fa raikitra ho azy ny fifanjevoana. Niditra an-tsehatra ny mpitandro filaminana nisambotra an’Andriamatoa Pety Rakotoniaina, dia nampakatra azy tany amin’ny Fitsarana izay niampanga azy, raha efa nivoaka ny didim-pitsarana dia voaheloka hanefa sazy herintaona any am-ponja ity ben’ny tanàna teo aloha ity. Tsy hiverina amin’ny maha rariny na tsia, na ara-dalàna na tsia io fanamelohana io, efa namoaka ny didiny ny fitsarana. Tonga iny ny fanapotehana ny fitaovan’ny Viva, izay tsy nanafoana hatrany am-piandohana fa Andry Rajoelina no tompony sady mpanangana io orinasa mivelatra ao anatin’ny sehatry ny hainoamanjery ity. Iny fanafihana ny Viva iny dia manambary fa tonga ny fotoana fanaovana tetika sy asan-jiolahimboto.

Ny vahoaka anefa efa marisarisa be ihany noho ny rivotra maimbo iainany. Ny fahasahiranana efa mampalikiliky, ny rahona mitataho tsy afaka ahafantarana izay hiseho rahampitso. Manampy trotraka izany ny fisesisesin’ny fanapahana ny herinaratra.

 Tsy fantatra marina ny anton’ny fisehoan’izany. Moa ve nafenina ny tena faharerahan’ny Jirama? Inona ary no antony nipingapingana nampanantenana ny fanafoanana ny delesitazy? Dia famahanan-dalitra amin’ny lainga marivo tototra ve? Sao kosa ity fiverimberenan’ny delesitazy ity dia nentina hanerena ankolaka ny mpiasa izay mitokona? Tsy afaka tsy ho heverina koa anie fa hery avy any ivelany no mampirisika amin’ity fanapatapahan-jiro tsy misy fitsaharana ity? Na inona na inona anefa antony sarotra no ahafantarana amin’iza no hifototra ny hatezeram-bahoaka raha sanatrian’izany misy mitroatra. Ny afaka ahiana indrindra dia tsy hamela ny fitondrana tsy ho tompon’andraikitra voalohany ny olona, noho ny fanafinafenana ny tena marina mikasika ny omamiadana mikiky ny Jirama.

Léo Raz

Le  Pub Ambatonakanga : « The Dizzy Brains » à l’affiche

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The Dizzy Brains, le duo du genre Garage rock.

Après une soirée rock au cours de laquelle il avait partagé la scène avec le virtuose du piano malgache Silo, « The Dizzy Brains » reviendra en force le 15 août prochain au Le Pub Lounge Bar à Ambatonakanga, pour un concert inédit.

Les amateurs de concert diurne seront gâtés. En pleine promotion de son premier album, « Mola kely », le duo du genre Garage rock fera vibrer les murs du Le Pub à Ambatonakanga durant un concert qu’il donnera à partir de 15 heures 30. D’après les organisateurs, le show promet une bonne ambiance bien électrique.

« Certains de nos fans se plaignent du fait que la plupart de nos concerts se déroulent quasiment en soirée. Cette date sera une nouvelle fois l’occasion de se rencontrer et de passer un bon moment ensemble », ont promis les membres du groupe.

Après les séances de coaching par des professionnels du 5è art dont ils ont bénéficié bien avant la 3ème édition de Libertalia musical festival, le groupe était en studio début-juillet pour l’enregistrement d’une dizaine de titres. A peine diffusé sur la plateforme de distribution audio en ligne, SoundCloud, le premier extrait du nouvel album de The Dizzy Brains intitulé

« Noana be » a déjà émerveillé plus d’un. Dans les thèmes abordés, on retrouve l’amour, toujours, mais aussi un regard sur la carrière de chanteur.

En tant qu’étoile montante de la scène nationale, The Dizzy Brains est un groupe qui a été révélé au grand public lors de la 3è édition du Libertalia music festival. Le groupe est composé d’Eddy comme Lead vocal et Mahefa à la guitare basse. Les deux frères ont grandi, bercés par le Garage rock des années 60 et 70, un genre caractérisé par la simplicité des compositions et le caractère souvent artisanal de la production. Le groupe a été créé en 2011 et a sorti son premier album intitulé « Môla kely » deux ans plus tard par No Comment.

A noter qu’après ce rendez-vous incontournable, plusieurs dates de concerts se profilent déjà durant les mois à venir.

Joachin Michaël

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