La population a passé les fêtes de la Nativité dans une communion totale dans le 6^ème arrondissement de la capitale grâce aux actions sociales menées par lA députée Vololona Victoire Raherisoa, élu dans leur circonscription.

Plus d’un millier d’enfants issus des 31  fokontany de l’arrondissement ont reçu respectivement  des sachets de friandises en guise de cadeau de fête tandis que les personnes âgées et les familles défavorisées ont eu droit à des paniers garnis constitués de produits de première nécessité. « Le peuple a les mêmes droits durant les fêtes que chaque famille doit passer convenablement », selon les déclarations publiques de ce parlementaire lors de la remise de ces dons à la veille de la fête de Noël dans les locaux de la mairie d’Ambohimanarina.

Pour faire bonne mesure, la députée Vololona a intensifié la lutte contre la pauvreté par la dotation de bourses pour des jeunes dans les formations professionnelles de gens de maison et en informatique. Le projet, financé par ce député, a débuté le 24 décembre dernier avec des tirages au sort pour déterminer 5 nouveaux  apprenants dans chaque filière pour les 31 fokontany. Les tirages au sort seront renouvelés à la fin de chaque cycle de formation pour désigner les nouveaux boursiers. Un centre de formation comprenant différents modules est déjà opérationnel à Ambohimanarina sur l’initiative de ce député, en plus de la clinique infantile inauguré lors de la célébration du 5^ème anniversaire de l’Ong Affami.

Manou

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Créé le 5 janvier 1955, le Centre de rééducation motrice de Madagascar (CRMM), le seul dans son genre en Afrique de l’est, souffle ses 60 bougies. Les manifestations dans le cadre de la célébration dureront du 22 décembre 2015 au mois de mars  prochain.

Etablissement spécialisé en prise en charge des personnes handicapées motrices, le centre comprend 5 sections: la consultation externe, la rééducation fonctionnelle, la chirurgie, l’appareillage fourni sur place et la scolarisation spécifique des jeunes handicapés jusqu’à 18 ans. Le CRMM est doté d’une EPP et d’un CEG.

Les infrastructures d’accueil du centre, les appareils et outillages nécessaires pour la chirurgie en son sein sont  vétustes actuellement,  selon le médecin chef, le docteur Bonaventure Emilien Rakotonandrasana. C’est en effet l’une des raisons principales de cette célébration afin que le ministère de la Santé publique en soit conscient.

Le CRMM a organisé une porte ouverte lors de la journée de lancement de cette célébration pour dévoiler ses activités au public. Présent lors de la cérémonie,  le ministre de la Santé publique a promis d’apporter son aide et son appui pour la réhabilitation des infrastructures de l’établissement et la rénovation  des équipements du centre.

En écho aux appels lancés par les responsables du CRMM, le député d’Antsirabe II et le maire de la commune urbaine d’Antsirabe  ont offert respectivement la somme de 200 000 Ariary et 2 tonnes de ciment à l’occasion.

Jeannot Ratsimbazafy

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Noël réserve souvent l’enchantement d’apporter un peu de joie à tous. Comme par miracle une ambiance de fête envahit la société ici comme dans d’autres pays, mettant en parenthèses le principe de laïcité, réunissant la population autour de cet anniversaire propre au christianisme du point de vue religion. Pou la circonstance tombent les clivages, riches et pauvres se retrouvent à célébrer l’évènement, différemment certes en fonction de leurs moyens. Les privilégiés trouvent prétexte à plumer la dinde, à organiser gueuletons, les plus démunis eux  se résignent de leur maigre pitance au modèle qu’enseigne en ce jour la naissance du Christ dans le dénuement d’une étable. La fête religieuse ne se formalise pas non plus d’engendrer un phénomène presque païen, un grand dynamisme qu’elle apporte au commerce, veau d’or moteur de la civilisation de consommation. Les populations n’échappent pas à la détermination établie par le calendrier.

Seulement la vie se poursuit selon ses lois, comme celle qui veut que le même jour il y ait des gens qui rient et que d’autres pleurent. Cette semaine alors que dans des familles on se partage des parts d’une bûche de Noël, d’autres à l’opposé reçoivent de sacrés coups de bûche sur la tête et des bleus à l’âme.

Malheur dans une famille, tourmente dans le pays

La mort de leur enfant constitue le pire des malheurs pour des parents. Une famille de Taomasina après l’angoisse insoutenable durant de longs jours sans nouvelles et d’interminables nuits sans sommeil, dans l’attente du sort réservé à ses deux enfants aux mains de ravisseurs, a subi l’épreuve d’une scène barbare, épisode intermédiaire sans que ne s’achève le calvaire. Le corps de la fille portant les traces de sévices infligés, jeté sans vie dans la cour, le frère de cette pauvre victime toujours retenu en otage. Des circonstances qui interpellent un pouvoir en apparence sonné. Le point de presse ne semble pas avoir fait œuvre d’une initiative ni salvatrice ni adroite. Le Premier ministre laisse transparaître l’embarras de n’avoir à livrer un peu tard que des informations déjà connues du public. Comme preuve d’efficacité l’arrestation de plusieurs individus suspectés de complicité n’a produit jusque là aucun des résultats attendus : avoir empêché l’assassinat de cet otage, libérer ou simplement situer le secteur de détention de l’autre, dresser l’esquisse de l’organisation criminelle et en conséquence profiler le cerveau de l’opération. Un peu léger ou même par trop lourd c’est selon : l’intervention du Secrétaire d’Etat Gendarme a révélé un état plutôt leste d’un esprit cavalier à vouloir se déresponsabiliser, dévoilant que les autorités n’ont jamais interdit aux parents de payer la rançon. Une sorte de signal adressé aux candidats à ce type de crime : les particuliers rançonnés peuvent traiter et négocier avec les ravisseurs, l’Etat impuissant en l’absence de toute politique arrêtée en la matière ne s’implique pas au premier degré, laisse toute latitude aux premiers concernés la liberté de décision et en conséquence d’en assumer toute la responsabilité.

Franchissement de plusieurs niveaux

L’escalade de violence par les actes de terreur entraîne à l’égal une escalade de psychose elle-même accompagnée en sens inverse d’une perte de confiance de la population en l’Etat et une chute du déjà mince crédit accordé au pouvoir par l’opinion. Plus que jamais le grand public prend conscience de l’énormité de l’écart qui sépare de la masse les malins du système. Alors que dans la plupart des familles on équilibre le budget en prenant soin de compter par dizaine les unités d’ariary, chaque affaire qui fait du bruit sans provoquer de vrai scandale décline des sommes dont on conjugue les millions d’ariary par centaines, le magot transporté en carton dans le véhicule d’une élue du peuple, voire libellé en devises étrangères à l’occasion d’exportation clandestine. Le banditisme n’accuse aucun retard pour se mettre au diapason de la voyoucratie en col blanc, l’opinion ne commettrait aucune indélicatesse à soupçonner que ces deux engeances ont partie liée lorsque les organisateurs de rapt formulent leur exigence en euros par millions. A l’image de leurs égaux terroristes grands bandits et petits délinquants n’hésitent plus à recourir aux actes les plus barbares, n’ayant de principe que la recherche d’efficacité par l’équation : plus le spectacle est horrible mieux il frappe l’imagination et mieux il remue l’opinion, tout bénef sans plus à avoir à compter les risques.

Ce phénomène ne suffit pas à rassurer ceux qui ne disposent pas de milliards ou de millions sous leur matelas. Inspirée par cette actualité l’imagination vagabonde et celle des petits voyous s’en imprègne pour surtout retenir le peu de considération laissée à la valeur de la vie humaine. On s’en est retourné dans la réalité au temps des westerns, pour quelques ariary de plus…

Un indispensable coup de bûche pour l’Enseignement

Il n’y a pas de mal à se faire du bien, a-t-on l’habitude d’entendre, malheureusement on tend à élargir la portée de cette lapalissade en en vivant la banalité d’une absence de honte à mal faire ses obligations. L’école primaire publique traverse un purgatoire. Oubliée sa vocation à servir d’ascenseur social, désormais utilisée pour faire spectacle et à entretenir les plus défavorisés dans un semblant acquis de connaissances. Remède du cataplasme sur jambe de bois, l’abaissement du niveau des enseignants par une  titularisation dans la fonction d’enseignant de milliers de maîtres sans formation pédagogique ou formés à la va-vite. Puis voici que se révèle une aussi coupable escroquerie publique au niveau de l’enseignement dit supérieur. A l’occasion du concours pour le recrutement de sages-femmes et d’infirmiers le ministère a disqualifié une centaine de candidats au motif que leur diplôme n’est pas reconnu en raison d’une absence d’habilitation des

« universités » qui ont délivré ces parchemins. Hôpital qui se fout de la charité ! Le représentant du ministère de la Santé déplore le pullulement des universités de fokontany, comme si l’Etat est libéré de la responsabilité de cette vaste escroquerie ayant pignon sur rue, exploitant l’avidité des jeunes et de leurs parents prêts à tous les efforts et sacrifices pour se percer un trou de chance dans un horizon bouché. Pas de quoi célébrer Noël au balcon et pourtant promesse de passer Pâques aux tisons.

Léo Raz

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Plusieurs districts des environs de Betroka, à l’instar de Bekily, d’Ambovombe et même de Tolagnaro vont être entièrement enclavés durant cette saison des pluies à cause de la dégradation avancée de la route nationale n° 13 reliant la région Ihorombe à Anosy.

Le pont que doivent emprunter les véhicules pour cause de déviation au niveau de Bevoay, n’a pas supporté les charges des gros porteurs et est actuellement détérioré. Les communes rurales de Jangany,  de Beampombo I et de Benatoby, dépendant de cet embranchement risquent ainsi l’isolement, selon le maire, Alfred Andriamampianina, de la commune rurale de Tsaraetso, dans le district de Betroka.

Joint au téléphone hier, le député Jean Nicolas Randrianasolo élu de la circonscription de Betroka, n’a pas caché son inquiétude sur d’éventuels impacts négatifs sur la vie socio-économique de cette partie de Madagascar. Les fortes pluies de la veille de Noël ont rendu presque impraticable la déviation d’Anaviavy, a-t-il révélé. Ce parlementaire du sud attend beaucoup de la promesse faite par le ministre des Travaux publics annonçant la réfection  des points noirs sur cet axe dans un futur proche.

La population locale déplore par ailleurs la recrudescence des attaques sur les routes nationales dans l’axe de la RN 13 du fait que les véhicules doivent rouler lentement à cause de la dégradation de la chaussée. La zone de Befangitry est tristement célèbre dans le district de Betroka par la série d’attaques mortelles qui y ont été perpétrées.

Manou

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À Manjakandriana, de nombreux groupes d’indigènes vêtus comme en un jour de fête, portant des drapeaux et des bannières, sont venus verser au chef-lieu du district le produit des souscriptions malgaches recueillies pour les Œuvres de la Guerre pendant le mois d’octobre.

Si l’on en juge par quelques-unes des bannières qui portaient en gros chiffres le montant des sommes recueillies, on peut dire, dès maintenant, que la souscription 1915 atteindra et dépassera même la souscription des ambulances de 1914, cependant déjà si considérable. Citons, au hasard, la bannière d’Ambatomanga, dessinée avec beaucoup de goût par un artiste malgache du pays qui indiquait 9 506 fr. 05.

On ne saurait trop souligner l’enthousiasme populaire de cette manifestation qui montre avec quelle sincérité de cœur les Malgaches tiennent à s’associer aux épreuves actuelles de la France.

Un préparateur de l’Académie malgache, M. Ramamonjy, en mission à Miarinarivo, a fait parvenir au gouvernement général trois caisses de tabac pour être envoyées aux soldats des tranchées.

D’un autre côté, un grand nombre d’indigènes des districts de Fénérive, d’Anivorano et de Foulpointe et des gouvernements d’Ivondro, de Tamatave et d’Ambodiriano ont fait don à l’administration des lots de 35 balles de raphia, d’un poids total de 3 500 kilogrammes. Ce raphia est destiné à l’atelier de l’Œuvre de l’assistance par le travail pour les réfugiés et militaires convalescents.

En outre, les Fokonolona de dix faritany du district d’Antsirabe ont versé spontanément une somme totale de 1 939 fr. 15 pour l’orphelinat des armées.

Enfin, les commerçants de la ville ont offert 442 fr. 05 ; M. Rainisoarivony, d’Antoby, cinq bœufs, le gouverneur madinikaRanosy, de Mandritsara, et sa famille, 40 francs pour les victimes de la guerre.

Sortie d’or

Conformément à la règle établie dans la métropole, M. Garbit a décidé tout récemment que les personnes quittant Madagascar seraient autorisées à emporter une provision d’or étranger dont le maximum est fixé à 200 francs.

Le Courrier colonial

www.bibliothequemalgache.com

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Après une semaine de forte baisse des prix avec des niveaux jamais atteints depuis 2004, le pétrole a terminé la semaine de cotation sur une note moins pessimiste en se hissant largement au-dessus de 37 dollars à Londres.

Les prix du pétrole se sont effet stabilisés, jeudi, lors de la dernière séance de cotation –  en affichant 37,92 dollars en fin de séance, avant la fermeture pour les fêtes de Noël – lors d’échanges européens, au lendemain d’un net rebond alimenté par la baisse inattendue des réserves américaines de brut. Parmi les facteurs de soutien des prix, les analystes cités par les agences de presse notent le rebond enregistré sur les marchés émergents, ce qui relance les espoirs sur la demande. Par ailleurs, « le dollar s’affaiblit, ce qui rend les échanges pétroliers plus attrayants car ils sont libellés en monnaie américaine », soutiennent également les experts.

Observant les fluctuations des prix du brut sur le marché mondial, les analystes tablent sur une année 2016 assez morose pour les pays exportateurs qui devront compter avec un prix du baril en baisse.

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Une légère hausse du prix du riz est observée sur le marché intérieur en cette période. Cette hausse concerne particulièrement le riz importé, selon les constats des consommateurs de la  capitale. Ce qui n’est pas le cas dans les autres régions de l’île, où une importante hausse du prix du riz est observée ces dernières semaines, selon le dernier rapport de l’Observatoire du riz (ODR).

Une hausse de 6% du prix du kilo de riz blanc local a été enregistrée dans la région Bongolava, par rapport à la première semaine du mois de décembre. L’abondance des pluies, rendant difficiles la commercialisation du riz et l’approvisionnement du marché, est la principale cause de cette hausse. Par ailleurs, une augmentation de 5% du prix du riz « makalioka » à Ambatondrazaka, un des greniers à riz du pays, a été enregistrée à cause de la baisse de l’offre, selon toujours le rapport de l’ODR. En revanche, une baisse de 5% des prix du « makalioka » et du « tsipala » a été observée à Toliara-I (Région Atsimo Andrefana) suite à l’abondance des produits vivriers vendus sur les marchés.

Concernant le prix du riz blanc local, des hausses de 10 et 25% ont été observées respectivement dans les districts de Beloha et de Vangaindrano. Cette situation est due globalement à l’entrée dans la période de soudure d’une part, et la forte pluviosité entraînant la difficulté dans l’approvisionnement du marché, d’autre part.

En moyenne, le prix du kilo de riz sur les marchés varie actuellement entre 1650 et 1 800 ariary.

Riana R.

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Antananarivo n’a plus de capitale que le nom face à l’ampleur de l’insalubrité qui y règne depuis le début de la saison des pluies.

L’enlèvement des ordures dans la capitale était loin d’être effectif au cours de la semaine de Noël. Des montagnes d’ordures s’entassent depuis plusieurs jours aux quatre coins de la capitale et s’éparpillent jusque sur les chaussées, perturbant la circulation notamment du côté d’Anosibe, d’Analakely et d’Andravoahangy ou encore d’Ambohimanarina. Et pire, des odeurs nauséabondes empestent l’atmosphère, engendrant de graves problèmes respiratoires parmi ceux qui habitent à proximité des bacs à ordures débordant d’immondices innommables.

La plupart des habitants d’Antananarivo ne cessent de se plaindre face à ce problème d’insalubrité et de désordre dans la ville des Mille ces derniers temps. Une situation devenue inquiétante en dépit des solutions financières apportées en partie par le ministère des Finances et du budget grâce au financement de 400 millions d’ariary alloué au Service autonome de maintenance de la ville d’Antananarivo (Samva).

Le Samva n’a même pas pu relever le défi d’enlever les ordures de la capitale en 15 jours. Une semaine est passée en vain. Interrogé sur ce sujet, un responsable auprès du Samva a expliqué que « la décharge d’Andralanitra n’a pas été accessible et le bulldozer est tombé en panne ». Notre source de reconnaître qu’aucun ramassage n’a été effectué au cours de la semaine de Noël.

Pollution et maladies

Il n’est pas étonnant si la capitale est devenue invivable. A ces problèmes s’ajoute le problème infrastructurel lié au manque de véhicules qui assurent les travaux de collecte des ordures, déjà que le Samva n’en possède qu’une dizaine. Le service a dû faire recours à des prestataires externes qui doivent être payés en fonction des travaux effectués, mais certains d’entre eux n’acceptent pas ces conditions de travail et se sont désistés.

En attendant, les Tananariviens, notamment les enfants et les personnes âgées, sont exposés aux risques de pollution et de diverses maladies. Les affections respiratoires sont en recrudescence. Elles constituent les premiers motifs des consultations médicales dans les dispensaires et centres de santé. « Ma femme a du mal à respirer ces derniers jours et a nécessité un soin médical d’urgence », se plaint un chef de famille habitant le quartier d’Ambondrona. Heureusement que l’alerte à l’épidémie de peste n’a pas encore été donnée face à cette situation qui s’aggrave de jour en jour.

Le Samva promet depuis hier que les ordures de la capitale seront enlevées d’ici dix jours et les travaux y afférents ont commencé dans les quartiers de grande affluence comme les marchés publics.

Noro Niaina

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A une exception près, les fins d’année ressemblent étrangement à des fins de vie, du moins sous un certain angle de vue. Et pour cause, il s’agit là d’un moment où l’on jette un léger coup d’œil au passé, ou du moins aux douze mois de l’année écoulée. Et comme toujours avant de s’interroger sur le passé dans ce qu’il convient d’appeler appartenance collective, chacun jette y coup d’œil sur soi-même. Pour certains, il se pourrait que l’avenir a été bousculé en une fraction de seconde. Pour d’autres, aucun changement ne s’est peut-être produit. De la déception à la mélancolie ou encore du bonheur à la réussite, c’est selon. Le cycle de la vie s’est ainsi succédé malheureusement, dans la plupart des cas sans que l’on puisse intervenir pour changer le cours des choses. A ce titre, la plupart des gens estiment que le mois de janvier est un bon moment pour démarrer une nouvelle page et répartir, bon pied bon œil, de l’avant.

La même situation se retrouve au niveau de la gestion de l’Etat. Vingt-quatre mois après la prise de fonction officielle du Chef de l’Etat, un certain statu quo semble être constaté. Un site d’information de la place s’est amusé à recueillir les principaux points retenus par les citoyens au cours de cette année. Et sans surprise, les divers maux qui continuent de ronger le pays ces temps-ci figurent en bonne place. C’est le cas, entre autres, de l’état de sinistre national du début d’année, de la tension permanente entre les institutions de la République, de la recrudescence de l’insécurité, de la difficulté de l’économie à trouver le point d’ancrage pour son décollage, de la persistance de la corruption, de la réticence des bailleurs de fonds, ou encore de la difficulté à juguler les trafics illicites des ressources naturelles. En gros, tous les ingrédients sont réunis quant aux mesures à prendre pour faire une bonne campagne électorale. D’ailleurs, l’actuel régime s’est engagé à faire le ménage sur ces divers points dès son accession au pouvoir.

Evidemment, il apparaît de plus en plus clair que les deux premières années de la Quatrième République n’ont pas produit les effets escomptés. Les espoirs déçus sont multiples et sur tous les fronts. A force de trop miser sur les promesses, souvent difficiles à tenir lors des campagnes électorales, le régime semble se heurter à des murs difficiles à surmonter, en particulier lorsque les réformes sont enclenchées. Ceci étant, il reste encore un peu plus de la moitié du chemin à accomplir avant que le quinquennat ne prenne fin. Cependant pour un régime qui tend à briguer un autre mandat, beaucoup reste à faire. Il n’est donc pas encore trop tard pour prendre le courage et la volonté à deux mains au lieu et place du tâtonnement qui n’a que trop duré.

Jao Patricius

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 Miovaova eo ny vaovao momba ny “Raharaha kidnapping” any Toamasina. Tsy mbola hita i Arnaud. Tsy niziriziry tamin’ilay 1.5 tapitrisa euros, ho tambin’ny famotsorana ilay zaza kosa ireo jiolahy, fa nidina ambany kokoa. Tsy mety handoa vola intsony anefa ny rain’ireo ankizy nalaina an-keriny.

Fantatra, omaly, fa nidina ho 300 tapitrisa Ar ny vola takin’ireo jiolahy ho takalon’i Arnaud, raha 1,5 tapitrisa euros izany teo aloha teo. Midika aloha izany fa tsy mbola novonoin’ireo jiolahy, araka izany, ilay tovolahy, na dia nisy aza ny fandrahonana nalefan’izy ireo ny faran’ny herinandro teo.  Tsy mbola fantatra kosa anefa ny misy azy, satria tsy mbola nahazoam-baovao marim-pototra ireo olona nosamborina sy nohadihadiana, izay heverina fa tafiditra anatin’ity raharaha ity.

Raha ny omaly, nanaovana fanadihadiana lalina teny amin’ny zandary i Marcellin, ilay mpandraharaha avy any Antalaha, azo sambo-belona taorian’ny namohana ilay didy fampisamboarana azy sy ny namany efa-dahy. Hatramin’ny ora nanoratanay, tsy nisy nipika ny famotorana natao azy .

Efa tafakatra 17 ny isan’ny olona naiditra am-ponja amin’ity “Raharaha kidnapping” any Toamasina ity. Misy amin’ireo ny polisy miisa roa, mpandraharaha ny fonja, mpiraki-draharaha amin’ny fitsarana. Mpandraharaha sy olon-tsotra miisa 12, mpiasan’ny fadin-tseranana. Nisy ihany koa ny mpitsara nosamborina tany Madiotsifafana Ambatondrazaka saingy efa navosotra.

Fantatra ihany koa izao fa misy dokotera hosamborina, izay fantatra fa nitsabo azy mianadahy nandritra ny fitazonana azy. Misy ihany koa ny sefom-pokontany maromaro izay hanaovana fanadihadiana.

Ny alahady lasa teo ny nisy fisamborana farany, raha ny vaovao avy any an-toerana. Toy izany koa ny famoahana ny lisitr’ireo “wanted”, izay namoahana anarana sy sary naparitaka ihany koa. Efa miparitaka isaky ny biraon’ny mpitandro filaminana, tamin’ny alalan’ny haino aman-jery hatrany anatin’ny tambajotra ara-tsosialy, ny sarin’ireo heverina fa jiolahy raindahiny amin’ity fakana an-keriny ity. Misy amin’ireo karohina ireo no voalaza fa gadra mandra-pahafaty eny Tsiafahy. Misy amin’ireo ihany koa ny monina ao Toamasina ihany, ary efa malaza ho olon-dratsy fa izao vao voakitika ny momba azy.

Mihorohoro ny mpandraharaha

Andanin’izany anefa, fantatra izao fa mihorohoro ny mpandraharaha sasany ao Toamasina ao, raha ny vaovao avy any an-toerana, noho ny fisian’ny tompon’andraikitra mitady vola amin’izy ireo. “Mitaky vola 4 tapitrisa Ar ka hatramin’ny 10 tapitrisa Ar ireo olona ireo, raha tsy izany, ampidiriny ao anatin’ny lisitra hosamborina izahay”, hoy ny fitarainan’ireo mpandraharaha. Voalaza fa mahatratra 60 ny lisitr’ireo mpandraharaha ao Toamasina misy mihevitra ny haka vola.

Tsy nanamarina io vaovao io ny eo anivon’ny mpanao famotorana. Izay heverina fa tafiditra amin’ny raharaha fakana an-keriny ihany no samborina na hanaovana fanadihadiana fa tsy ny mpandraharaha rehetra akory. “Tsaho iniana aely na fampihorohoroana fotsiny ihany izany”, raha ny fanazavana.

Toy izany koa ny filazana fa tsy mitovy fomba fijery ny mpitandro filaminana manao ny famotorana momba ity fakana an-keriny ao Toamasina ity. Marihina anefa fa efa nakamban’ny lehiben’ny mpampanoa lalàna anaty “cellule d’enquête” ireo mpitandro filaminana manao ny fanadihadiana rehetra momba azy ity. “Tsy mitombina koa izany filazana izany satria sampana iray no manao ny fanadihadiana ary mibaiko azy ny lehiben’ny mpampanoa lalàna”, hoy ny fanamafisana.

Efa raharaham-pirenena, ary tambajotra goavana ity mpanao kidnapping ity, mahatafiditra olona maro. Lisitra finday sy anaran’olona maro, tratra mifampiresaka momba azy ity. Anisan’izany ny fisian’ny mpanolotsaina olona ambony ao aminy fitondrana. Andrasana ny fivoaran’ny toe-draharaha. Milaza ny tsy handoa vola amin’ireo jiolahy ny rain’i Annie sy Arnaud. Ny zanany vavy rahateo, efa novonoin’ireo jiolahy. Manambara ny tsy hamela izao raharaha izao ho vitavita foana izy.

Yves S.

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Fifidianana indray… Eny, marobe ireo tsy mahalala akory fa misy fifidianana anio. Marobe ihany koa anefa ireo mahafantatra ihany, fa toa tsy manisy lanjany firy izany. Tsy mba nalaza sy nahoraka toy ny fifidianana filoham-pirenena, solombavambahoaka na ben’ny tanàna ity fifidianana loholona hotontosaina anio ity.
Tsy mahagaga loatra koa anefa. Tsy natokana ho an’ny olom-pirenena rehetra toy ny mahazatra koa ny fifidianana ireo loholona, fa natao ho an’ireo mpifidy vaventy ihany. Olom-boafidy ireo, efa nanankinan’ny sarambabem-bahoaka ny fitokisany ary mbola antenainy tsy hanao tsinontsinona ny vato nalatsany ho azy indray, ho an’ity anio ity.
Mpifidy vaventy ve, tsy hahalala ny mety sy ny tsy mety? Tsy ny olon-drehetra no mendrika ho loholona, matoa tsy ny rehetra koa no hasaina hifidy izany. Izay ny tokony ho izy… Fa izay marina tokoa ve no hiseho? Enga anie! Miahiahy hatrany ny rehetra, indrindra fa efa nandeha ela ny feo, fa misy mampiasa vola, ho takalon’ny vato harotsak’ireo mpifidy.
Maha te hino tsy misy porofo, na tsy hita maso aza, satria tsy zava-baovao fa efa zary fiainana rehefa fifidianana ny fampiasam-bola ho sandan’ny vato arotsaka. Ny tsy mampitovy avy fotsiny, mety vitan’ny “t-shirt”, sakafo na volakely ny an’ny mpifidy tsotra. Volabe mety hahavita taona, farafaharatsiny mahavita fety, kosa ny an’ireo mpifidy vaventy.
Iza no homen-tsiny, ireo mpifidy vaventy sa ireo mpividy…vaventy?  Tsy misy. Ny madinika no mila mandinika…

Zo ny Aina Randriatsiresy

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Tsy nieren-doza araka ny nanentaina ny fankalazana ny fetin’ny Krismasy tao Toamasina. Nahatratra 158 ireo olona nandalo fizahana tao amin’ny Hopitalibe Toamasina. Lozam-pifamoivoizana avokoa ny ankamaroan’ireo nandalo teny amin’ny hopitaly, araka ny fanazavan’ny tompon’andraikitra iray ao amin’ny Hopitalibe. Tao ihany koa ireo naratra vokatry ny ady sy ny hamamoana ary ireo tratran’ny loza tany an-tokantrano. Na            izany aza, azo lazaina fa vitsy ihany ireo nandalo teny amin’ny hopitaly fa tsy toy ny fahita isan-taona. Nisy kosa ireo tsy maintsy notazonina tao amin’ny hopitaly satria tsy maintsy mandalo ny fizahana akaiky ataon’ny mpitsabo. Tao kosa ireo nalefa nody avy hatrany rehefa nahazo ny fitsaboana sahaza azy.

Mbola ao anatin’ny vanin’andro fety isika izao, na izany aza, tokony holanjalanjaina ihany ny fisotroana toaka diso tafahoatra indrindra ny fitondrana fiara eny an-dalambe mba hisorohana ny loza mety hitranga tampoka. Ny patsa iray rahateo tsy omby vava rehefa ho avy ny loza. Tokony hanaraka ny toromarika omen’ny mpitandro filaminana ihany koa ny tsirairay avy.

Sajo sy J.C

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 Nitrangana lozam-pifamoivoizana indray tany Brickaville, omaly antoandro. Olona 11 indray naratra mafy vokatry ny fifandonan’ny taksiborosy roa. Araka ny fanazavana, Mazda iray avy any Manambato no nifandona tamin’ny fiara iray nitondra fianakaviana hihazo an’i Toamasina. Olona miisa fito naratra mafy tao amin’ity fiara nitondra fianakaviana ity. Voalaza fa vokatry ny hafainganam-pandeha mafy loatra no nahatonga ny loza ka tsy nahafehy ny familiana intsony ny mpamily ka nifatratra tany amin’ilay fiara nitondra ireo fianakaviana hihazo an’i Toamasina. Samy tapa-tongotra ireo mpamily. Tao koa ireo tapa-tanana sy naratra teo amin’ny lohany vokatry ny fifandonana. Isan’izany, ny zazakely iray vao sivy volana, saingy tsy atahorana kosa ny ainy. Nentina haingana tao amin’ny hopitaly ao Brickaville ireo naratra ary efa samy nahazo fitsaboana avokoa. Tsy nisy, araka izany, ny aina nafoy tamin’ity lozam-pifamoivoizana ity na teo aza ny fahasimban’ireo fiara nifandona. Ny zandary ao Brickaville no manao ny fanadihadiana.

Matetika ahitana lozam-piarakodia ao Brickaville. Tsy misy afa-tsy ny fitandremana ihany no ahafahana misoroka ny loza toy izao indrindra amin’izao faran’ny taona izao.

J.C

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Ao anatin’ny ora-mikija no hamaranana ny taona ho an’ny mponina manerana ny Nosy raha ny vinavinan’ny mpamantatra ny toetr’andro. Hamely mafy ny orana ny hariva sy ny alina ho an’ny eto an-dRenivohitra.

Mitombo miohatra ny tokony ho izy ihany koa ny rotsak’orana, raha ny mari-pandrefesana (55mm/24h). Hitohy hikija izany orana izany ao anatin’ity herinandro mamarana ny taona 2015 ity.

 Efa mihatra ny filazana loza mitatao na loko mena ho an’ny faritra Diana, Sofia, Boeny, Analanjirofo, Atsinanana, Vatovavy Fitovinany, Atsimo Atsinanana, Ihorombe ary ny tapany atsinanan’ny faritra afovoan-tany.

Filazana loza manambana na loko mavo kosa ho an’ny monina ao amin’ny faritra Betsiboka, Bongolava, Itasy, Andilamena, Amparafaravola ary ny tapany andrefan’ny afovoan-tany.

Mila mitandrina manoloana ny loza mananontanona toy ny fiakaran’ny rano sy ny fihotsahan’ny tany ireo mponina voakasik’ireo filazana ireo.

Raha ny vinavinan’ny mpamantatra ny toetr’andro hatrany, heverina ny hisian’ny oram-baratra arahina havandra any amin’ny faritra Androy. Hisy ihany koa ny rivo-mahery any amin’ny tapany atsimon’ny Nosy ka hampisamboaravoara ny ranomasina izany.

Hahatratra hatrany amin’ny telo metatra ny haavon’ny onja. Tsy tokony hiandriaka araka izany ny mpanjono ary mitandrina ireo mpitatitra an-dranomasina. Hitohy hatramin’ny voalohan’ny taona izany toetr’andro mahery vaika any atsimon’ny Nosy izany.

Loza manambana ho an’ny tanàna lalovan’i Sisaony

Mbola mitoetra ny filazana loza manambana amin’ireo faritra rehetra lalovan’ny reniranon’i Sisaony, araka ny fanambaran’ny Apipa omaly hariva tamin’ny 3 ora, momba ny fandehan’ny renirano eto amin’ny lemak’Antananarivo. 1,84 m ny haavon’ny reniranon’i Sisaony eo amin’ny maridrefin’Ampitatafika. Nidina ny rano tao anatin’ny fito ora nefa hiakatra kosa mandritra ny 12 ora manaraka vokatry ny orambe vinavinainy mbola hirotsaka. Mahatratra 1,22 m Ikopa eo Anosizato, niakatra ny rano ary mbola hiakatra mandritra ny 12 ora manaraka. 3 m ny refy fanairana milaza loza eo Anosizato. 3,26 m Ikopa eo Bevomanga, tsy niakatra sady tsy nidina ny rano tao anatin’ny ora fito nefa hiakatra kosa ao anatin’ny 12 ora manaraka. 7,55 m i Mamba eo Ambohidroa, tsy nihetsika ny haavon’ny renirano.

Ny eny amin’ny faritra iva amin’izao fotoana izao, efa betsaka no miaina ao anaty rano tanteraka eto an-dRenivohitra raha vao mirotsaka maharitra ny orana. Betsaka ny lakandrano tsentsina izay tsy nokarakairana tamin’ny maintany teo. Teny Soavina, vao namboarina ny fefiloha dimy simban’ny orambe ny fiandohan’ny taona teo.

 Tatiana A sy Vonjy A.

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 Niakatra fampanoavana, omaly ary nidoboka eny Tsiafahy avy hatrany ireo jiolahy roa tompon’antoka tamin’ny fanafihana ny Airtel Money Andoharanofotsy. Nalefa eny Antanimora kosa ilay ramatoa mpamatsy basy ireto jiolahy ireto…

Tsy afa-bela! Nidoboka eny Tsiafahy ireo jiolahy roa azo sambo-belona nandritra ny fifampitifiran’ny zandary sy ny andian-jiolahy nanafika ny Airtel Money eny Andoharanofotsy, ny herinandro teo.

Fa nalefa eny Antanimora kosa ilay ramatoa voalaza fa mpamatsy fitaovam-piadiana ireo jiolahy ireo.

Tsiahivina fa dimy lahy nitondra basy Kalachnikov sy P.A no niditra an-keriny nanafika tao amin’ilay Airtel Money tamin’io fotoana io. Nisy ny fifanenjehana teo amin’ny zandary notarihin’ny lehiben’ny Fari-piadidian’ny zandarimariam-pirenena eto Analamanga, ny Jly Rakotomahanina Florens sy ireo jiolahy taorian’izay ka lavo nandritra ny fifanenjehana tao anaty fifampitifirana ny telo amin’ireo jiolahy. Azo avokoa ireo fitaovam-piadiana mahery vaika niaraka tamin’ireo jiolahy roa tratra teny Ambohimanala sy Soavina.

Taorian’ny fanadihadiana ireo jiolahy no nanondroany ity ramatoa iray monina eny 67 ha izay notondroin’izy roa lahy fa mpamatsy fitaovam-piadiana azy ireo. Nidina teny an-toerana ny zandary ka noraisim-potsiny tao an-tranony izy, ny 25 desambra 2015. Mbola nahitana basy P.A iray sy bala 13 tao an-tranony nandritra ny fisavana nataon’ny zandary.

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Havoakan’ny Ceni alohan’ny 10 janoary 2016 ho avy izao ny voka-pifidianana vonjimaika amin’ny fifidianana loholona, raha ny vinavinan’ny eo anivon’ny Ceni. Raha ela indrindra, amin’ny 15 janoary 2016 izany. Havoakan’ny Fitsarana avo momba ny lalàmpanorenana (HCC) alohan’ny 25 janoary 2016 kosa ny voka-pifidianana ofisialy.

Hanomboka amin’ny 6 ora maraina ny fifidianana loholona, anio, ary hifarana amin’ny 5 ora hariva. Azo faranana mialoha izany, raha vao tapitra mandatsa-bato ireo mpifidy vaventy isaky ny biraom-pifidianana. Eny anivon’ny distrika ny fanatanterahana ny latsabato, na isaky ny kaominina aza ny birao fandatsaham-bato izay miisa 1 695. 12 664 ny isan’ny mpifidy vaventy, ben’ny Tanàna sy mpanolotsain’ny Tanàna, amin’izany.

Biletà tokana no ampiasaina amin’izao fifidianana loholona izao, ary fifidianana lisitra no atao fa tsy kandidà. Arakaraka ny habetsahan’ny vato azon’ny lisitra ny isan’ny toerana azony eo anivon’ny Antenimierandoholona. Loholona 42 no hofidina, ka fito isaky ny faritany. Hotendren’ny filohan’ny Repoblika ireo loholona 21 amin’ny 63 mandrafitra ny Antenimierandoholona.

Andrimpanjakana mpanao lalàna ny Antenimierandoholona: mandany lalàna sy manao tolo-dalàna. Dimy taona ny faharetan’ny fe-potoam-piasany. Solontenan’ny vondrombahoaka itsinjaram-pahefana izy Antenimierandoholona. Eo koa ny avy amin’ny sehatra ara-toekarena sy sosialy ary kolontsaina, izay tokony hiainga avy amin’izay ireo loholona hotendren’ny filohan’ny Repoblika.

R. Nd.

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 Mitaky ny tambin-tsakafony sy ny saran-dalany ary ny fiantranoany ao an-dRenivohitry ny distrikan’i Manakara ireo mpifidy vaventy any an-toerana. « Tsy hifidy izahay rahampitso (anio) raha tsy mahazo izany… Avy any amin’ny toerana lavitra izahay ary misedra olana », hoy ny Me Tsaralahy Christien, omaly, niditra an-telefaonina amin’ny haino anam-jery iray. Nambarany fa efa mba nanao dingana nikasa hihaona amin’ny prefet de region izy ireo hitady vahaolana nefa tsy eo an-toerana ity tompon’andraikitra ity. « Voatery izahay nandray fanapahan-kevitra ny tsy hifidy raha tsy mivaha ny olana …. », hoy ihany izy.

        Nohitsiny fa tokony ho anjaran’ny fanjakana ny miantoka ny saran-dalana sy ny sakafo ary ny fiantranoana eny anivon’ny distrika. « Azo natao teny amin’ny kaominina ny fifidianana… Tokony hamaha olana ny fanjakana ary hiahy tanteraka anay. Zonay io ka takiana nefa tsy midika ho takalo koa anefa… », hoy ihany izy ireo.

       Ankoatra izany, nanitrikitrika ireto mpifidy vaventy miisa 306 avy amin’ny kaominina 74 any amin’ny distrikan’i Manakara ireto fa tsy hanova ny safidiny izy ireo amin’izay hitondra vahaolana ho avy eo. « Manana ny safidinay malalaka izahay fa tsy toy ny mpifidy madinika. Tsy midika izany fa ankinina amin’ny resa-bola ka hifidianana ireo hamaha ny olana izany », hoy izy ireo.

Synèse R.

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 Tsy hita taratra ny fiovana eo amin’ny fanaovana politika sy ny fifidianana. Manararaotra amin’ny maha eo amin’ny fitondrana azy ireo kandidà sy ny mpitarika sasany eo anivon’ny antoko HVM amin’izao fifidianana loholona izao.

 Nifarana, omaly tamin’ny 6 ora maraina, ny fampielezan-kevitra amin’ny fifidianana loholona hatao anio, nefa mbola mandefa soratra maro sosona (SMS) any amin’ireo mpifidy vaventy ny kandidàn’ny antokom-panjakana, omaly tolakandro. « Tanteraka sahady ny fampanantenana nataonay amin’ny hampiakarana ny tambin-karaman’ny ben’ny Tanàna sy ny mpanolotsaina, manomboka ny janoary 2016… Ny avy aminareo sisa andrasana amin’ny fifidianana… », hoy ny SMS.

      Midika izany fa misy tahotra ny tsy hahazo ny maro anisa sy fanahiana ireo lehibe any ambony ka mbola manafatrafatra sy manantitra ny tokony hifidianana ny tena ?

Efa nialohavan’ny fampiasana fitaovam-panjakana sy ny fahefam-panjakana izany. An’ny antokon’ny HVM ny helikoptera nampiasaina tany avaratry ny Nosy nitetezana ireo distrika, nialoha ny faradoboky ny antoko, ny alahady teo teto an-dRenivohitra ?

Kaominina ho voailika amin’ny fampandrosoana

Teo koa ny faneriterena namorian’ny lehibe na tompon’andraikitra ara-panjakana ireo mpifidy vaventy rehetra tany amin’ny faritra, eny anivon’ny distrika tamin’ireny fampielezan-kevitra ireny. Anisan’ny efa nanesorana ny lehiben’ny faritra iray anefa izany.

      Manampy ireo ny fandrahonana ny amin’ny tsy hahazoan’ny kaominina tsy mifidy ny kandidàm-panjakana ny fampandrosoana tokony hatao.

      Ampahany ihany amin’ny fihetsika sy fomba fanao politika ary paikady hahazoana ny maro anisa eny anivon’ny Antenimierandoholona izany.

Ho tonga hatraiza anefa  ?

Randria

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Nambaran-dRazafiarivony Angelot, «instructeur Fiba Afrique», fa ligim-paritra miisa 12 amin’ireo 19 mandrafitra ny federasiona malagasin’ny basikety (FMBB), no nahavita fiofanana ho an’ireo mpanazatra, ho an’ny taona 2015. Anisan’izany Analamanga, Analanjirofo, Atsinanana, Anosy, Alaotra Mangoro, Atsimo Andrefana, Diana, Matsiatra Ambony, Itasy, Ihorombe, Vatovavy Fitovinany, Boeny.

Araka ny tatitra nataony, miisa 351 ireo nahazo diplaoma,  avy amin’izany, ka ny 249, afaka tamin’ny “young coach 1” , izay avy amin’ny ligin’Analamanga sy Analanjirofo. Ny 82, nomena ny «young coach 2» izay avy amin’ny ligin’Atsinanana sy Anosy. Ankoatra izay, nisy ireo naka ny “niveau 1” sy “niveau 2” ary ny “instructeur entraîneur”.

Nomarihiny fa nandritra ireo fitetezam-paritra nataony, nisy ny olana nosedraina, toy ny tsy fanajana ny bokin’andraikitra, nataon’ireo ligy sasany, ny fahataran’ny tatitra mahakasika ny fiofanana, ny faharatsian’ny fotodrafitrasa ary ny tsy fahampian’ny fitaovana hiasana.

Na izany aza, efa misy ny fandaharan’asa amin’ny taona 2016 : ny fanohizana ireo fiofanana ka homena ny “young coach 2”  ny an’Anosy, Analanjirofo, Boeny, Atsimo Andrefana, Atsinanana ary Alaotra Mangoro. “young coach 1” kosa ho an’i Sava, Amoron’i Mania, Atsinanana, Menabe, Sofia, Vakinankaratra ary Bongolava. “Niveau 1”  kosa ny an’Analamanga.

 Tompondaka

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